J’ai l’impression que ça fait une éternité que je n’ai pas écrit ici. Peut-être parce que c’est le cas. C’est ça quand la vraie vie reprend le pas sur la vie virtuelle. Pendant mon absence, vous le savez si vous me suivez sur les réseaux sociaux où je suis restée active (Facebook – Twitter – Instagram), notre petit deuxième est né.
Loriane
Loriane
Passionnée par la lecture et l'écriture depuis l'enfance, Loriane raconte des histoires sur différents supports écrits, et aussi via le podcast. Elle a fait de la rédaction web son métier et pense qu'il n'y a rien de tel qu'un message bien reçu par le destinaire !
Quand j’attendais Tit n’amour, je n’avais aucune envie particulière de savoir si c’était une fille ou un garçon. J’aurais bien gardé le mystère jusqu’à la fin (au grand dam de ma belle-mère) mais dès la première échographie la réponse était clairement visible sur l’écran.
La sweet table
L’animation
Les gourmandises
La révélation
Et les absents alors?
Bien que le concept existe depuis quelques années maintenant, ce n’était que la deuxième fois que la team mtbp venait à Lille et cette fois pour mon plus grand bonheur pendant ma grossesse!
La Mum to be party c’est une soirée dans une super ambiance entre futures et jeunes mamans autour d’ateliers (et accessoirement de petits fours) définis à l’avance.
Nous avons eu pour cette deuxième édition lilloise qui se déroulait au Spa & lunch Clarins rue nationale (que je découvrais à cette occasion) droit à un massage pour nous donner un avant-goût de ce que propose l’établissement pour bien commencer la soirée. J’ai donc pu tester quinze minutes du soin 9 mois en beauté qui est un massage spécialement dédié aux femmes enceintes. J’y retournerai pour sûr car c’était très agréable! Sachant que les salons de massage dans lesquels nous avons nos habitudes n’acceptent pas toujours les femmes enceinte et que notre corps est mis à rude épreuve durant cette période, c’est vraiment l’occasion de se détendre et de prendre soin de soi. J’ai aussi eu l’occasion de découvrir les produits de la marque dont l’utilisation est préconisée pendant la grossesse, dont l’huile tonique ci-dessous. N’oubliez pas de pratiquer régulièrement des gommages sur votre ventre! Vous trouverez également des produits contre la sensation de jambes lourdes chez Clarins.
Par la suite, mon groupe et moi nous sommes dirigés vers l’atelier mode de garde avec O2 home qui propose de très bonnes solutions surtout pour les petits volume tes horaires. Nous avons un peu refait le tour de la question avec les différents modes de garde et les aides de la CAF y correspondant. L’idéal étant la crèche (il faudrait à la limite s’inscrire avant d’être enceinte tant les places sont difficiles à obtenir) ou l’assistante maternelle avec éventuellement des horaires plus larges. Mais existent également d’autres possibilités comme la garde à domicile, vous pouvez en lire davantage sur le site du prestataire.
Après avoir papoté avec les autres futures mamans et les blogueuses lilloises que vous connaissez sûrement, j’ai assisté au dernier atelier de la soirée : l’atelier lingerie. Pour ma première grossesse les sous vêtements d’allaitement pour lesquels j’avais opté étaient certes pratiques mais pas forcément les plus confortables ni les plus jolis. Ceux présentés par Christel maman de deux enfants et fondatrice de la Mum to be party étaient clairement plus jolis, modernes et adaptables au quotidien. La marque Boob fait notamment de super maillots de bain! Vous pouvez retrouver une large sélection de vêtements maternité/allaitement sur le shop de la mtbp.
Je me souviens encore du moment où je me suis dit « Je n’aurai plus jamais d’enfant ». C’était quand l’infirmière m’enlevait les fils de ma césarienne pratiquée en urgence pour cause de prééclampsie. Des larmes coulaient toutes seules le long de mes joues et j’étais vraiment à bout. La naissance de mon petit préma à 35SA a été une chose traumatisante pour moi. C’est vraiment le mot à utiliser. J’étais tout sauf prête à l’accueillir, j’étais malade sans le savoir, ce n’étaient vraiment pas des conditions idéales.
J’ai mis longtemps à panser mes plaies. Mes plaies physiques, et les autres, celles d’une étudiante qui ne savait pas dans quoi elle se lançait, à quel point sa vie ne ressemblerait plus à celle des autres de son âge. J’étais tout le temps sur la défensive, quand quelqu’un (qui ne me connaissait pas assez parce que les plus proches savaient ce par quoi j’étais passée) évoquait l’éventualité d’un deuxième enfant. Se rendaient-ils seulement compte de la gravité de ce que nous avions traversé? Un cousin que je fréquente peu m’a même dit « on n’est pas à Hollywood ici, tu n’as pas failli mourir! Alors c’est quand le deuxième? ». Je lui en ai voulu pendant des mois.
Et puis il y avait les autres parents qui rebelotaient. Je les prenais pour des fous. Ou des masochistes. Je ne comprenais pas qu’ils aient envie de remettre le couvert, re-changer des couches, ne plus dormir la nuit, trimballer de nouveaux toutes ces affaires de puériculture. Je ne les comprenais vraiment pas.
Puis le temps a passé, Tit n’amour a grandi, nous apportant chaque jour plus de bonheur que la veille et gagnait en autonomie. J’ai fini mes études, j’ai commencé à travailler, on a trouvé une maison… Et plus j’entendais ces parents de plusieurs, et plus j’ai commencé à les envier. N’ayant que des demi-frères et soeurs avec qui je n’ai jamais vécu ou que peu de temps, je me suis mise à avoir envie pour mon fils de quelqu’un avec qui il partagerait des moments privilégiés, une famille. En voyant ces images, en entendant ces mots, j’ai réalisé que je voulais vraiment que mon fils ait au moins un frère ou une soeur. Ce n’est pas la seule raison bien sûr, il faut bien avouer qu’avait surgie une nostalgie inattendue pour la grossesse, pour la couvade d’un nourrisson, pour les moments magiques avec bébé.
Monsieur Dada n’avait pas eu le même cheminement que moi et était déjà prêt à agrandir notre famille.
ça m’aura bien pris trois ans pour me dire que oui, je referais bien un enfant. J’étais prête (l’est-on jamais vraiment?) à retenter l’aventure, après tout ce temps.
Et aujourd’hui en ce jour de fête des mères, alors que mon grand bébé de quatre ans et demi me récite un poème émouvant à en pleurer, et après ce gros racontage de life, je vous annonce avec beaucoup de bonheur que je serai bientôt une deuxième fois maman et que nous avons tous hâte de commencer notre nouvelle vie à 4!
ça y est le soleil a repointé le bout de son nez (oui même dans le Nord) et on peut enfin se prêter au jeu des looks estivaux. C’est vrai qu’il y a encore un peu de vent frais mais on a rangé les gros pulls et les gros manteaux.
Samedi 14 mars 2015 s’est tenue à Lille la deuxième édition de la Happy new hair (programme là, mon résumé de l’édition précédente là).
Cette année, l’évènement a encore grandi, c’étaient de toutes nouvelles choses que l’association Wawa nous proposait. Je suis arrivée à l’heure du déjeuner avec Tit n’amour et nous nous sommes régalés de délicieux snacks sud américains et afro. Puis nous avons fait le tour des stands, il y avait une bonne ambiance.
Par la suite, j’ai assisté à une hair battle,c’était inédit pour moi et j’ai vraiment beaucoup aimé. 4 coiffeurs, 4 saisons, une entrée en danse et une prestation en musique, c’était très animé et c’était clairement un moment fort de la journée qui s’est poursuivie toujours en musique avec la prestation du jeune chanteur Amima puis un défilé de mode et de coiffures.
Les choses bougent de plus en plus à Lille encore une fois grâce à l’asso Wawa. Certaines des marques qui étaient là sont basées à Paris et ont pris le temps de venir en province pour rencontrer ceux qui n’ont pas toujours l’occasion de se déplacer pour assister à ces évènements à Paris et ça c’est plus que positif. C’était aussi sympa de voir Rayhsa Brown et Audrey de Comp’hair qui sont de Paris et ont pu constater que les choses sont aussi intéressantes par chez nous!
Comment résumer en quelques lignes une journée aussi riche en émotions et en couleurs? De belles femmes partout, avec toutes les textures de cheveu imaginables, souvent stylées et arborant des rouge à lèvres colorés. Des filles qui sont soucieuses de prendre soin d’elles, qui s’aiment comme elles sont et avide d’astuces beauté. Ce sont ces filles que j’ai vues à la Natural hair academy, celles qui me prouvent que les mentalités ont bien évolué, et cela pour le mieux.
La première conférence à laquelle j’ai assisté était la conférence beauté et estime de soi animée par Fatou Ndiaye de Blackbeautybag assistée par les journalistes Rokhaya Diallo et Anasthasie Tudieshe et la naturopathe Evelyne Jean-Gilles. Cet échange que j’attendais avec impatience s’est révélé très enrichissant et à tourné autour de la beauté au quotidien, de la pression perçue de la part de la société, de la transmission à la génération suivante. C’est étonnant de voir à quel point le retour au naturel se fait pour des raisons différentes : envie d’avoir ses cheveux crépus, lassitude du défrisage duquel on devient presque accro… Les intervenantes ont témoigné sur leurs parcours personnels différents mais qui se retrouvent en un point: elles s’aiment et s’assument comme elles sont et cela rayonne à l’extérieur. « Jouez votre propre rôle, les autres sont déjà pris ».
Après le déjeuner, il y a eu l’atelier animé par Les secrets de Loly et Leila Jean de Fusion of cultures qui est douce et gentille! Boost your curls ou les différentes façons de former des boucles sur ses cheveux naturels notamment avec les produits Les secrets de Loly une marque en laquelle j’ai confiance et dont je vous ai souvent parlé sur le blog (vous pouvez cliquer pour relire les articles là).
Enfin, l’atelier Beauty & style avec IgobyFrankie et Beautybylee avec des astuces mode et make-up: osez la couleur et portez tout ce qui vous plaira, même si on vous dit que ça n’irait pas avec votre morphologie. Conseils maquillage et mode selon les tendances printemps-été 2015 et morpho + forme du visage et yeux étaient au RDV. Il y avait de quoi trouver des idées pour les beaux-jours.
Avant cela, j’ai eu le temps de passer voir la conférence de Carol’s daughter puis de flâner dans le concept store mais cette année j’ai été ultra raisonnable, je me suis surprise! J’ai été ravie de voir et revoir des copines blogueuses que je n’avais pas revues depuis longtemps et aussi de voir en vrai certaines comme Sabine avec qui j’ai passé pas mal de temps. Il y avait aussi mes petites compatriotes et ça m’a fait plaisir de les retrouver là. J’ai aussi pu glaner quelques selfies avec les intervenantes et youtubeuses ^^
Naptural85, Chime Edwards et Tiarra Monet |
Les tissages Nappy weft hair |
Ekeya créations |
Corner big chop |
Didier et Glwadys Mandin agence Ak-a |
Le baobab, géant d’Afrique, est un arbre qui recèle bien des trésors, dont l’huile rare qui provient de ses fruits. Elle a de nombreuses vertus notamment pour notre peau et nos cheveux.
Phytospecific propose une synergie d’huiles à base notamment des huiles de:
- Baobab
- Karité
- Ricin
- Roucou
- et Karanja.
Il y a déjà quelques années je vous parlais du rapport de Tit n’amour avec les écrans. D’abord la TV de laquelle il faut très souvent lui répéter de s’éloigner ici, puis des applications mobiles avec la tablette au travers d’une sélection d’applications pour tout petits ( #1, #2, #3)
Depuis, les choses n’ont pas beaucoup changé. Tit n’amour regarde toujours la télévision et utilise toujours la tablette (sous surveillance et dans un laps de temps qui se veut raisonnable). La TV est celle autour de laquelle on se rassemble, on aime particulièrement lui faire découvrir de nouveaux Disney et partager ces moments de magie avec lui.
Sur la tablette, mon fils regarde beaucoup sur Youtube des vidéos sur les Power Rangers, sa lubie du moment et qui dure déjà depuis un certain temps. Internet on le sait bien peut être dangereux alors je suis toujours à côté de lui et le contrôle parental est nécessaire. Il les regarde dans toutes les langues l’essentiel est que ça parle de Power Rangers. Il me demande de taper le mot qu’il reconnaît dans la barre de recherche puis regarde les différentes vidéos suggérées.
Il utilise également la tablette pour regarder Gulli. Je sais que les chaînes pour enfants ont des applications dédiées qui peuvent être intéressantes.
Enfin, récemment, nous avons découvert le site jeuxjeuxjeux.fr avec de minis jeux mobile dont certains sont adaptés aux enfants. Ils sont rangés par catégories. Il y a par exemple découvert un jeu de voiture auquel il a beaucoup aimé jouer.
En définitive, je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose que les enfants aillent sur des écrans. Le tout est d’en limiter et d’en contrôler les usages et de contrebalancer avec des activités en extérieur.Il est aussi plus intéressant de trouver des activités ludo-éducatives à pratiquer sur ces écrans afin qu’ils puissent apprendre tout en s’amusant.
Je devrais être encore plus vigilante et j’en ai conscience mais comment demander à mon fils de se détacher de son écran alors que je suis moi même accrochée à mon smartphone et mon ordi? Les enfants font comme nous alors le travail est peut-être à faire aussi à ce niveau.
Et chez vous, écrans ou pas écrans?
Depuis que nous avons déménagé, beaucoup de choses ont changé. Les horaires, les trajets, tout est différent et demande une organisation toute autre à laquelle j’ai énormément de mal à me faire.
Ensuite pour le petit-déjeuner c’est un autre chapitre, il refuse parfois ce dont il s’est régalé la veille à la même heure. C’est tout sauf évident de lui faire avaler un bon petit-déjeuner complet pour bien commencer la journée.
- Mettre le lutin au lit plus tôt
- Le réveiller plus tôt pour lui laisser le temps d’émerger. Oui parce qu’il n’est visiblement pas comme moi a qui il ne faut pas plus de 2mn après la sonnerie du réveil pour se lever.
- Pour le petit déjeuner je sèche encore. A part le yaourt à boire qui passe très bien.
Les vacances nous ont fait beaucoup de bien mais maintenant il faut remettre la machine en route!